Liens

Soucieux de vous offrir le meilleur service qui soit, l'ASPMP vous propose une sélection de liens susceptibles de vous intéresser.

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APSEP 

L'ASPMP vous présente avec plaisir l'Association des Professionnels de Santé Exerçant en Prison (APSEP) qui regroupe les somaticiens exerçant en prison et avec qui nous engageons un travail commun sur la problématique des soins en prison.

 

L’APSEP a le plaisir de vous présenter son nouveau site internet. Notre association est présente aux côtés des professionnels de santé pour assurer et promouvoir l’échange d’informations, les réflexions sur les problématiques de leur exercice en milieu pénitentiaire ainsi que leur formation. Ce site internet vient compléter les différentes actions d’information des soignants, notamment le désormais classique congrès national des UCSA qui a eu lieu les 10 et 11 mars 2016 à Marseille.

GENEPI

L'ASPMP participe avec plaisir aux animations du GENEPI qui outre son engagment étudiant auprès des personnes détenues publie une revue à lire au titre bien trouvé :"Passe-Murailles".

 

Le GENEPI se présenta ainsi :

Le Genepi est une association estudiantine qui souhaite favoriser le décloisonnement des institutions carcérales par la circulation des savoirs entre les personnes enfermées, ses bénévoles et la société civile. Cet engagement va de pair avec une conscience militante des enjeux politiques liés aux différents lieux d'enfermement. Chaque année, 1 200 bénévoles du Genepi écartent les barreaux de la prison pour recréer un lien entre la société et les personnes incarcérées.

ARTAAS

L´ARTAAS: Une approche clinique centrée sur l’individu dans un contexte socio-pénal

Les médias se sont fait de plus en plus souvent le relais d’affaires de viol et d’agression sexuelle… Ils évoquent l’inceste, la pédophilie… Ces affaires dites « de moeurs » sont désormais une préoccupation politique et sociale majeure.

1991 : Création d’une commission Santé-Justice à l’instigation des ministères concernés qui aboutira au rapport « BALIER » sur le traitement des auteurs de délits et crimes sexuels en 1995.

1993 : Sous l’égide de Claude BALIER, débute une recherche dirigée par  A. CIAVALDINI et M. GIRARD-KAHYAT et financée par la DGS qui mobilisera jusqu’en 1995 de nombreux professionnels de la santé : infirmiers, psychiatres et psychologues exerçant essentiellement en milieu pénitentiaire.

OIP

"Considérant que l'emprisonnement est une atteinte à la dignité de la personne, l'OIP-SF agit pour la défense des droits fondamentaux et des libertés individuelles des personnes détenues."

 

L'Observatoire international des prisons (OIP) est né en 1990 à Lyon (France) avec pour but de promouvoir, partout dans le monde, le respect des personnes incarcérées au regard des instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme. Il a obtenu un statut consultatif à l'ONU en 1995. L'OIP s'est organisé progressivement en délégations régionales et sections nationales.

 

Juridiquement créée en janvier 1996, la section française est une association régie par la loi du 1er juillet 1901, à but non lucratif et indépendante des pouvoirs publics. Depuis sa création, la section française de l'Observatoire international des prisons s'attache à promouvoir le respect de la dignité et des droits fondamentaux des personnes incarcérées. Notre association fonde son action sur les dispositions de droit interne et les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme qui prévoient que chacun a droit, en tout lieu, à la reconnaissance de sa personnalité juridique et que nul ne peut être soumis à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

 

La conviction de l'OIP est que la loi du silence carcéral doit être brisée et la société française placée face à ses prisons. L'efficacité de l'association repose sur la médiatisation des dysfonctionnements du "service public pénitentiaire" et l'interpellation permanente des autorités concernées sur les manquements au droit. En donnant la plus large publicité à tout ce qui porte atteinte à la dignité inhérente à la personne humaine, l'OIP contribue à rompre le silence qui entoure le monde carcéral. En demandant l'application du droit commun en prison, l'OIP cherche à combattre l'arbitraire qui caractérise le fonctionnement de toute institution pénitentiaire.

 

Concrètement, constatant à la fois l'atteinte à la dignité de la personne que constitue la peine d'emprisonnement et l'échec de son objectif de réinsertion, l'OIP s'est donné quatre moyens d'actions :

 

→ il dresse et fait connaître l'état des conditions de détention des personnes incarcérées, alerte l'opinion, les pouvoirs publics, les organismes et les organisations concernés sur les mauvais traitements dont elles peuvent faire l'objet et sur l'ensemble des manquements observés ;

 

→ il informe les personnes détenues de leurs droits et soutient leurs démarches pour les faire valoir ;

 

→ il promeut d'une part l'adoption de lois, règlements et autres mesures propres à garantir la défense de la personne et le respect de ses droits ; et d'autre part la diminution du nombre de personnes détenues, la limitation du recours à l'incarcération, la réduction de l' échelle des peines, le développement d'alternatives aux poursuites pénales et de substituts aux sanctions privatives de liberté ;

 

→ il utilise son droit d'ester en justice pour la sauvegarde des intérêts essentiels de la personne détenue et l'application des dispositions légales et réglementaires.

L'OIP agit hors de toute considération politique et quel que soit le motif de l'incarcération.

 

Organisation indépendante des pouvoirs publics, disposant du statut consultatif auprès des Nations unies, l'OIP ne sollicite aucun mandat ou subvention du ministère de la Justice, s'interdit de prendre part à l'action d'aucun gouvernement, de soutenir aucun parti politique ou de prendre position à l'occasion de toute consultation électorale.

PRISON LITIGATION NETWORK

Le Réseau européen de recherche et d’action en contentieux pénitentiaire (RCP) réunit des ONG et des chercheurs investis dans les questions de défense en justice des droits des personnes détenus.

Il s’efforce de faire progresser la jurisprudence de la Cour européenne sur les dimensions les plus problématiques du fonctionnement des systèmes pénitentiaires. A cet effet, il suscite à l’échelon du continent des stratégies judiciaires coordonnées, en les appuyant par des projets de recherche en droit et en sciences sociales.  De même, pour permettre la circulation des modèles les plus protecteurs, il fait connaître les systèmes des différents pays et met en commun les acquis des actions juridiques conduites au plan national. Enfin il questionne les effets réels de la reconnaissance des droits des détenus sur le fonctionnement des prisons et les politiques pénales et pénitentiaires.

Il réunit dix-sept organisations non gouvernementales dans les pays du Conseil de l’Europe et a établi des partenariats avec cinq centres universitaires pour le développement de projets de recherche.

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